"Gia Marie Carangie was born in Philadelphia in 1960. In the early eighties she became a legend in the fashion industry. Her story is told here in the words of the people who knew her and the words of her own journal."
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Film basé sur l'histoire vraie de Gia
Marie Carangi. Gia Marie Carangi, 17 ans, est employée dans le restaurant de son père, mais se rebelle contre une autorité trop pesante. Décidée à vivre sa vie, elle le quitte pour tenter sa chance comme mannequin. Gia goûte aux drogues, qui lui permettent de garder une taille idéale tout en travaillant avec énergie. Héroïne, cocaïne, amphétamines, tout y passe. Gia rencontre Linda, une maquilleuse, dont elle tombe amoureuse. Mais sa relation avec la drogue devient quotidienne et, dans l'affolement du manque, les seringues s'échangent. Gia apprend un jour qu'elle est séropositive. La maladie ne tarde pas à se déclarer. |
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| Titre : Gia Titre original : Gia Autres titres : "Femme de rêve" ; "Autopsie d'un top model" ; "Anatomie d'un top model" Taglines : "Too Beautiful To Die. Too Wild To Live." ; "Everyone Saw The Beauty, No One Saw The Pain" Téléfilm américain Genre : Drame Durée : 2h (version "unrated" : 2h 06 mn) Année de production : 1998 Date de sortie aux Etats-Unis : 31 octobre 1998 Date de sortie en France : 21 février 2001 Réalisateur : Michael Cristofer Distribution : HBO Pictures Producteur : James D. Brubaker Producteurs exécutifs : David R. Ginsburg, Ilene Kahn-Power & Marvin Worth Producteur associé : Tina L. Fortenberry Scénaristes : Jay McInerney & Michael Cristofer Montage : Eric A. Sears Photographie : Rodrigo Garcia Musique : Terence Blanchard Costumes : Robert Turturice Casting : Libby Goldstein & Junie Lowry-Johnson Maquillage, coiffure : Stacey K. Black & Jane Choi Direction artistique : John R. Jensen Chef décorateur : David J. Bomba Cascades : Marcia Holley (doublure Angelina Jolie) Lieux de tournage : Los Angeles & New York |
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Angelina Jolie |
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Gia Maria Carangi |
| « A cette époque, les filles devaient
être grandes, minces et blondes. Elles devaient toutes poser, elles
devaient toutes paraître. Mais Gia n'était
pas comme elles. Elle a été la toute première à bouger. C'est ce qu'elles font toutes aujourd'hui. Elles essayent de se donner des airs. Mais c'est elle qui a inventé cette façon d'être. Elle a toujours obéi à son instinct. Peu importe jusqu'où ça allait. C'est ce qu'elle avait de mieux et de pire en fait, je crois. » |
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La mère de Gia |
| « Je suis mal placée pour parler de sa sexualité. C'est vrai, je n'étais pas au courant. Et à mon avis, sincèrement, je dirais qu'elle n'a jamais fait l'amour avec personne. Mais elle adorait les séances de photos. Et tout le monde aimait la photographier. » |
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Un photographe |
| « Elle détestait se faire photographier. On devait lui courir après et presque l'attacher sur une chaise. Et puis il fallait faire avec ses vêtements, avec sa façon de se coiffer. Mais elle était vraiment unique. » |
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Le journal de Gia |
| « Cher journal, encore un jour de plus dans ma vie. Et la vie c'est comme un journal intime. Un journal intime ça ressemble à une boîte. Et une boîte a six face à l'intérieur et à l'extérieur. Question. Comment avoir accès à l'intérieur ? Comment avoir accès au fond des choses ? Il était une fois une très très jolie fille qui vivait dans une très très belle boîte et le monde entier l'aimait. » |
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| Mon premier visionnage de ce téléfilm
m'a profondément marquée. Etant déjà fan d'Angie
à cette époque, je me souviens avoir attendu la seconde
partie de soirée, devant ma télé, pour enfin voir
"ce rôle qui lui avait collé à la peau". Honnêtement, je suis restée en "stand-by" lorsque le générique de fin est arrivé. Je n'ai pas vu deux heures avec Angelina Jolie, mais vécu deux heures aux côtés de Gia Marie Carangi. |
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Autant dire que pour moi, toutes les récompenses
décernées à Angie pour
son interprétation de Gia, étaient
très largement méritées ! A mes yeux, Angie
s'imprègne tellement de ce rôle, qu'elle disparaît
pour laisser toute la personnalité du top model des années
80 apparaître. Les côtés colérique, sauvage et imprévisible de Gia sont exploités à fond par l'actrice, tout autant que ses côtés fragile et enfantin. Mes scènes mémorables resteront sans aucun doute, celles avec le personnage de Linda, notamment celle devant l'ascenseur ou encore chez Linda, lorsque Gia force la fenêtre ; de même pour les scènes de gloire du mannequin (scènes en noir et blanc des séances photos...) ; et surtout la scène finale où Gia perd ses cheveux. |
| Ce film m'a donné beaucoup d'émotions.
C'est sans aucun doute l'un de mes films préférés
d'Angie, sinon mon préféré,
qui pour moi, témoigne du talent de l'actrice pour s'approprier
le personnage de Gia et ne faire plus qu'une
avec elle. Ce film retraçant la vraie vie d'une personne célèbre puis déchue, sur fond de prise de conscience du Sida au début des années 80, m'a apporté respect et admiration. Je pense qu'interpréter Gia fut le rôle de sa vie. Car Gia, c'est Angelina Jolie ! |
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| Bouleversant, je tenais à commencer
par ce mot, car c'est vraiment le sentiment que j'ai eu quand le générique
de fin s'est mis à défiler sur l'écran noir. Ce téléfilm très dur dans sa description du milieu du mannequinat et des excès auquel il peut être lié prend vraiment aux tripes. Impossible de le lâcher une fois que l'on s'est mis à le regarder, en effet, on plonge directement dans l'histoire et dans la déconcertante descente aux enfers de Gia qui nous amène avec elle dans les méandres de la drogue et des excès en tout genre. Tout au long de l'histoire, suite à l'arrivée de ce poison, les effets néfastes s'enchaînent jusqu'à la mener à un point de non retour. |
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Le fait qu'il s'agisse d'une histoire vraie est sûrement
pour beaucoup dans l'effet que procure ce téléfilm aux spectateurs
en plus des images choc qui nous sont délivrées. Angelina réussi encore une fois à bluffer le téléspectateur de par son interprétation sans faute de ce personnage très complexe. L'interprétation de sa compagne par Elizabeth Mitchell qui soutient Gia tout au long de l'histoire est elle aussi largement à la hauteur. Si vous avez l'âge requis (+ de 12 ans), que les images dures ne vous indisposent pas, prenez le temps de visionner Gia femme de rêve, car il en vaut vraiment la peine. |
| Ce film est basé sur des faits réels ce qui lui donne une dimension encore plus émouvante. C'est un émouvant témoignage des ravages que peut faire le succès qui arrive trop vite et qu'on ne peut pas gérer sans aide. En effet Angelina joue une fille "paumée" qui du jour au lendemain se retrouve sur des couvertures, courant de podium en podium et demandée par tout le monde. Le succès lui monte vite à la tête et elle succombe aux excès du showbiz : drogues... On assiste à une lente descente aux enfers, qui ne sera que brièvement ralentie par l'amour pour finir par repartir de plus belle. |   |
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Angelina Jolie est à couper le souffle tant par sa beauté que par son interprétation à fleur de peau. D'ailleurs sa partenaire, Elizabeth Mitchell, est elle aussi éblouissante. On assiste avec beaucoup d'émotions à la naissance de leur histoire d'amour et on ne peut s'empêcher d'avoir beaucoup d'empathie pour la compagne de Gia qui malgré tous ses efforts n'arrive pas à la sauver. |
| Ce film est un récit poignant d'une vie qui s'est arrêtée bien trop vite et qui véhicule un message très fort quant aux dangers de la drogue par rapport à l'addiction mais aussi au risque de transmission du VIH. |  |
| Disons-le tout de suite, Gia
est un grand film ! Ou pour être plus précis un grand téléfilm.
C'est bien là son seul "défaut", un handicap plutôt,
puisqu'il se trouve de facto privé d'une certaine reconnaissance,
les téléfilms étant par nature moins bien considérés
que les films. Néanmoins, au vu de son palmarès, sa qualité n'a échappé ni aux professionnels ni aux spectateurs. A ce jour, Gia est encore considéré comme un des plus grands rôles d'Angelina Jolie. La qualité de son interprétation le prouve, les récompenses accordées aussi bien à la miss qu'aux responsables du casting le confirment. Ce sera d'ailleurs son tremplin vers le grand écran : cantonnée à la télé ou aux "petits films", on la verra l'année suivante dans Bone Collector (cf. fiche) et Une Vie Volée (cf. fiche). |
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A travers le personnage de Gia,
le film dépeint le monde du mannequinat dans toutes ses réalités,
depuis les paillettes jusqu'à la drogue. Tel l'Empire romain, on
voit la grandeur et la décadence d'une jeune femme propulsée
dans un monde irréel et irrationnel. Vu le thème, on a bien sûr droit à de splendides costumes, admirablement mis en valeur par Angie (ancien mannequin, rappelons-le). Le décalage n'en est que plus grand avec le côté obscur du film, qui en fait toute sa force, et la déchéance de Gia plus marquante. |
| Bref, à tout point de vue, le film est un chef-d'oeuvre
à ne manquer sous aucun prétexte. Réalisation soignée,
costumes superbes, casting et interprétation sans défaut,
une histoire bien menée et poignante, que du bon ! J'ajoute à titre personnel et pour convaincre les derniers réticents à se jeter sur Gia (façon de parler) que le film est chaud comme la braise et qu'on peut y voir en détail l'anatomie des top-models Angie et Elizabeth Mitchell. De la hot couture qui ravira les amateurs ! |
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American Cinema Editors (USA) |
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1999 |
Victoire |
Eddie |
Best Edited Two-Hour Movie for Non-Commercial TV : Eric A. Sears |
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Art Directors Guild |
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1999 |
Nominé |
Excellence in Production Design Award |
Téléfilm : David J. Bomba & John R. Jensen |
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Casting Society of America |
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1998 |
Victoire |
Artios |
Meilleur casting pour un téléfilm : Junie Lowry-Johnson |
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Costume Designers Guild Awards |
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1999 |
Nominé |
CDG Award |
Meilleurs costumes pour un téléfilm : Robert Turturice |
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Directors Guild of America |
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1999 |
Victoire |
DGA Award |
Outstanding Directorial Achievement in Movies for TV : Michael Cristofer, James Brubaker, Mary Ellen Woods & David Larson |
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Emmy Awards |
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1998 |
Victoire |
Emmy |
Outstanding Single Camera Picture Editing for a Miniseries or a Movie : Eric A. Sears |
1998 |
Nominé |
Emmy |
Meilleur casting pour un téléfilm : Libby Goldstein & Junie Lowry-Johnson |
1998 |
Nominé |
Emmy |
Meilleurs costumes pour un téléfilm : Robert Turturice |
1998 |
Nominé |
Emmy |
Meilleure actrice principale : Angelina Jolie |
1998 |
Nominé |
Emmy |
Outstanding Made for TV Movie : Marvin Worth, Ilene Kahn, David R. Ginsburg & James Brubaker |
1998 |
Nominé |
Emmy |
Meilleur scénario : Jay McInerney & Michael Cristofer |
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GLAAD Media Awards |
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1999 |
Nominé |
GLAAD Media Award |
Meilleur téléfilm |
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Golden Globes |
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1999 |
Victoire |
Golden Globe |
Meilleure performance d'actrice dans un téléfilm : Angelina Jolie |
1999 |
Victoire |
Golden Globe |
Meilleure actrice dans un second rôle : Faye Dunaway |
1999 |
Nominé |
Golden Globe |
Meilleur téléfilm |
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L.A. Outfest |
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1998 |
Victoire |
Grand Jury Award |
Meilleure actrice : Angelina Jolie |
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Satellite Awards |
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1999 |
Victoire |
Golden Satellite Award |
Meilleure actrice dans un téléfilm : Angelina Jolie |
1999 |
Nominé |
Golden Satellite Award |
Meilleur téléfilm |
1999 |
Nominé |
Golden Satellite Award |
Meilleure actrice dans un second rôle : Faye Dunaway |
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Screen Actors Guild Awards |
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1999 |
Victoire |
Actor |
Meilleure actrice dans un téléfilm : Angelina Jolie |
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Writers Guild of America |
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1999 |
Nominé |
WGA Award (TV) |
Original Long Form : Jay McInerney & Michael Cristofer |
| Photos : - le film - gif animés - première - conférence de presse - interview TV : Conan O'Brien Critiques : - paroles de fans Fiche résumée sur Le Boulevard des Stars. |
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| Edition zone 1 Sortie : 18 juillet 2000 Durée : 120 mn Langues : anglais, espagnol Sous-titres : anglais, espagnol, français Bonus : biographie des acteurs ; galerie photos |
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Edition zone 2 Sortie : 7 juillet 2004 Durée : 119 mn Langues : anglais Sous-titres : aucun Bonus : aucun |
| Edition Unrated (zone 1) Sortie : 24 août 2004 Durée : 126 mn Langues : anglais Sous-titres : anglais, espagnol, français Bonus : 6 minutes de film supplémentaires |
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Edition française Editeur : Warner Home Video Distributeur : Warner Home Vidéo France Sortie : 8 août 2007 Durée : 121 mn Langues : français Sous-titres : aucun Bonus : aucun |
| Bande-annonce | |
| Dancing With Myself, écrite
et interprétée par Billy Idol Brass In Pocket, interprétée par The Pretenders The Killing Moon, écrite par Will Sergeant et Les Pattinson, interprétée par Echo & The Bunnymen Let's Dance, écrite et interprétée par David Bowie Young At Heart, écrite par Carolyn Leigh et Johnny Richards, interprétée par Jeanie Bryson Will She Stay ?, écrite par Terence Blanchard, interprétée par Jeanie Bryson |
 |
Heaven on earth
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throught it
in it
and above.
Casting : |
