Alexander, Oliver Stone's sweeping historical saga that charts the life and legend of one of the greatest figures in world history. The story is an epic that is as daring and ambitious as its subject, a relentless conqueror who by the age of 32 had amassed the greatest empire the world had ever seen. Past and present collide to form the puzzle of the protagonist, a tapestry of triumphs and tragedies in which childhood memories and Alexander's rise to power unfold side by side with the later day expansion of his empire, and its ultimate downfall. From his youth, fueled by dreams of glory and adventure, to his lonely and mysterious death as a ruler of a vast state, from the tumultuous relationship with his parents-a powerful king and a queen determined to put her child on the throne at any cost-to the rousing brotherly bonds with his closest companions and vast army, as they fought from the sun-scorched battlefields of the Persian Empire across the snow-peaked mountains of India, the film chronicles Alexander's journey to become a living legend, a man who embraced the ideal that power has a destiny. |
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2 - Le Alexandre
d'Oliver Stone est la deuxième adaptation
cinématographique de la vie du conquérant macédonien
après le Alexandre le Grand de Robert
Rossen, réalisé en 1956, et porté par Richard
Burton dans le rôle-titre. « 2 » C'est aussi le nombre de conseillers auprès d'Oliver Stone pour donner le maximum d'authenticité à son Alexandre : le réalisateur a fait appel au professeur d'Histoire de l'Antiquité à Oxford, Robin Lane Fox, en qualité de conseiller historique ; ainsi qu'à Dale Dye, ancien marine, en tant que conseiller militaire pour le film et entraîneur de Colin Farrell avant le tournage du film. « 2 » C'est encore le nombre de projets en préparation (courant 2002-2003) pour réaliser un film sur Alexandre le Grand. En effet, le projet d'Oliver Stone était en concurrence avec celui lancé par le cinéaste australien, Baz Luhrmann, qui avait envisagé Alexandre sous les traits de l'acteur Leonardo DiCaprio et Olympias sous les traits de Nicole Kidman. Cependant le projet d'Oliver Stone, malgré les difficultés (notamment financières), se concrétise, alors que celui de Baz Luhrmann accumule les retards. D'après les dernières rumeurs, le cinéaste australien aurait envisagé d'annuler son projet sur Alexandre. 3 - Le box-office français de la semaine du 19/01/2005 au 25/01/2005 : après 3 semaines d'exploitation, le film cumule 1.060.459 entrées (rien qu'en France). D'après le Journal du Cinéma du 9 janvier sur Canal+, Alexandre a cumulé 78.000 entrées en France, pour la journée du mercredi 5 janvier. 4 - Un tournage aux quatre coins du monde. Ce que vous pensiez être pour les paysages de la Macédoine, de la Perse, ou encore de l'Inde, dans le film, se révèlent être les paysages du Maroc et de la Thaïlande pour les décors extérieurs, les scènes intérieures ont été tournées dans les studios britanniques de Pinewood et de Shepperton. En marge du tournage, Oliver Stone est parti filmer quelques images de fond pour les effet visuels à Malte et dans l'Himalaya. 15 - C'est le nombre d'années qu'il a fallu à Oliver Stone pour concrétiser son projet et son rêve : réaliser un film sur Alexandre le Grand. Et puis...... plus de 20.000 pièces de vêtements ont été dessinées pour les besoins du film, et pour équiper les 1500 soldats tous les jours : il a fallu concevoir et fabriquer 12.000 pièces d'armements, dont environ 750 arcs et des milliers de flèches, 1.000 sarisses, 2.000 boucliers, 2.000 glaives... sans compter tous les autres accessoires du film comme les poteries, le mobilier de la chambre d'Olympias (par exemple), les tissus, les statues, les lampes....... Et 1 ? me direz-vous ? Eh bien, il n'y a qu'une Olympias dans ce film, et Oliver Stone a toujours persisté dans son choix. C'est-à-dire : Angelina Jolie, la seule, l'unique. (sources : allociné.fr, Ciné Live et Studio Magazine) |
Pour commencer, j'aimerais revenir sur la musique
d'Alexandre. C'est le célèbre
compositeur grec, Vangelis (Blade
Runner, 1492 : Christophe Colomb)
qui s'y est "attablé". Certains ont trouvé que
la musique d'Alexandre était
trop proche de celle du film sur Christophe Colomb,
mais ce petit son de harpe que l'on reconnaît immédiatement,
n'est-il pas là, le coup de griffe qui nous permet de reconnaître
le maître ? Pour moi, qui ne joue pas d'instrument de musique, je
dois dire que je suis toujours en admiration face au travail des compositeurs
de bandes originales de films. Donc, pour moi, la musique d'Alexandre
reste magnifique et adaptée au personnage et au film. En ce qui concerne le film lui-même, c'est une oeuvre riche et complexe, que ce soit dans le choix d'Oliver Stone pour les flash-back, les ralentis, des prises de vue inattendues, par exemple, la scène de la bataille de Gaugamèles : l'aigle qui survole l'immense champ de bataille et qui offre ainsi au spectateur des vues aériennes magnifiques. Il y aussi la beauté de l'image (telle que l'extraordinaire recomposition de Babylone) et des costumes qui permettent de ressusciter un monde encore mal connu par les historiens ! Un film qui dans son totalité, dure presque trois heures et qui aurait pu décourager certains, mais qui permet à Oliver Stone de mettre en avant plusieurs hypothèses sur le destin d'Alexandre. Ainsi le réalisateur nous présente diverses figures d'Alexandre : à la fois, un bouillant monarque, un guerrier débordant d'ambition, de courage, lançant son armée, à un contre cent, à l'attaque de l'immense armée perse. Un fils aussi, qui se trouve déchiré, entre l'héritage et l'amour trop possessif de sa mère et la recherche de l'approbation de son père. Un conquérant qui poursuit un rêve, et qui sans jamais perdre une seule bataille, mène ses soldats jusqu'aux limites du monde connu. Un visionnaire, qui dit-on, modifia, par ses exploits militaires et sa tolérance, la conception du monde. Un grand stratège dans l'enfer des batailles, que ce soit à Gaugamèles face à une armée numériquement supérieure (en 333 avant J.c.), ou que ce soit dans son ultime bataille contre les éléphants du roi indien Poros (en 326 avant J.C.). Un esprit tolérant et ouvert, qui accorde une place dans son empire aux peuples vaincus et qui cherche à comprendre les moeurs de ces "inconnus", notamment en se mariant avec Roxane, princesse iranienne. Le film défend ainsi plusieurs idéaux : tolérance, courage, amour et amitié. Et ce qui m'a plus particulièrement touchée, c'est la volonté du réalisateur de dresser le portrait d'un homme qui ne cache pas sa fragilité, un portrait "intimiste" du conquérant, en mettant notamment l'accent sur les doutes et la sensibilité d'Alexandre face à ses décisions (la scène où il pleure après la bataille de Gaugamèles, la découverte des singes en Inde ou encore la mort de son cheval Bucéphale). Oliver Stone a fait d'Alexandre, un personnage profondément humain. D'autant plus, qu'il accorde également une place essentielle à l'enfance du conquérant, en particulier à l'influence et l'amour possessif de sa mère, Olympias, personnage clé que l'on retrouve tout au long du film par flash-back. Je garderai qu'une citation mémorable à mon avis, elle provient du magazine Ciné Live de Janvier 2005 : « Le vrai trésor de guerre, c'est Angelina Jolie, perverse foudroyante de beauté. » Angelina est vraiment superbe dans ce rôle de mère qui "dévore" d'ambition et d'amour pour son fils, une vraie déesse grecque ! « S'attaquer au mythe d'Alexandre le Grand, il fallait oser ! » (source : S.F.X. déc./jan.2005) Mais ce film polémique, titanesque dans sa réalisation, possède au moins un mérite : c'est celui d'exister ! Alors merci Mr. Oliver Stone, merci de nous avoir offert votre rêve, merci de nous avoir fait rêver, merci de nous avoir offert Alexandre le Grand ! |
Oliver Stone a signé
avec cet Alexandre un film original en s'éloignant
du péplum traditionnel où abondent les scènes de
bataille. Sans se perdre dans les conquêtes du Macédonien,
il pénètre au coeur du personnage pour en révéler
à la fois les forces et les faiblesses. Ce que le film perd en
action, il le regagne donc en intensité psychologique. J'ai regretté l'absence de certains passages de la vie d'Alexandre : la conquête de l'Egypte est passée sous silence alors qu'elle marque une étape importante dans sa psychologie. Ceci excepté, le film est dans son ensemble fidèle à l'Histoire...... les décors et costumes somptueux font rêver...... la découverte par les Gréco-Macédoniens des peuples orientaux nous fait imaginer quelles merveilles le monde recelait alors...... les scènes de bataille sont impressionnantes, surtout l'affrontement avec les éléphants du roi Poros en Inde. Angelina est présente tout au long du film, ce que j'ai particulièrement apprécié en tant que fan. Dans son rôle d'Olympias, elle apparaît comme un des fils directeurs de la vie d'Alexandre. Elle incarne à la perfection une descendante d'Achille dont elle a hérité le caractère bouillonnant et l'expression exacerbée des sentiments - en cela le film est à rapprocher des épopées d'Homère. Calculatrice et sans pitié quand il le faut, étouffant parfois son fils dans son rôle de guide, elle n'en est pas moins une mère qui aime son fils. La scène de fin...... je n'en dirai pas davantage. Loin de Lara Croft, Angelina endosse superbement ce rôle digne d'une tragédie grecque ! |
Alexandre est un conquérant
qui se bat peu sous la direction d'Oliver Stone.
J'aurais souhaité que quelques-unes des autres grandes batailles
figurent à l'écran, mais c'était un parti pris du
réalisateur de s'attacher à l'homme en premier lieu et non
au seul conquérant. D'ailleurs les combats présentés
sont un véritable spectacle ! Depuis la vue aérienne à
travers l'oeil d'un aigle jusqu'au coeur de la mêlée, on
n'en perd pas une miette. (Ce qui n'est pas le cas, soit dit au passage,
de plusieurs chapitres de la vie d'Alexandre
qui ne sont même pas évoqués.) Côté spectacle, toujours, la reconstitution laisse pantois, de même que les décors naturels. On peut enfin visiter Babylone à l'époque où elle était encore debout ! La richesse des costumes complète admirablement l'ensemble et rend bien le décalage entre les Macédoniens rustauds et les Perses raffinés. Décalage encore dans la découverte du monde par les Macédoniens qui vont de suprise en surprise. Leurs réactions rendent bien ce que devaient ressentir les conquérants de l'époque une fois sortis de leur cambrousse natale. Oliver Stone a donc vu grand et on n'est pas déçu. En tout cas, je ne l'ai pas été. Sa vision d'Alexandre tient la route et se conforme dans l'ensemble aux sources connues, tandis qu'elle reste crédible lorsqu'il a fallu combler des blancs ou imaginer ce qui pouvait bien se tramer dans la tête du petit (puis du Grand) Alex. Son idée était d'attaquer le film sous l'angle de la personne plus que du personnage... pari tenu. Après, on aime ou on n'aime pas ; cette approche en a déstabilisé plus d'un à entendre les critiques qui encensent ou descendent le film, les avis étant diamétralement opposés sur des points similaires (et encore, je passe sur les critiques d'un pays puritain outre-Atlantique, focalisées essentiellement sur la question de l'homosexualité). Après la Bête, place à la Belle. Angelina prend évidemment moins de place que son fiston. La consolation, c'est que par rapport à Sky Captain (voir fiche), où son apparition tient en une unique scène, Angie joue les guirlandes de Noël et apparaît par intermittence durant tout le film, même quand bébé Alex a quitté ses jupes. Elle nous offre une Olympias pas piquée des hannetons, qui n'échappe à la camisole que parce qu'elle n'existait pas à l'époque. C'est un rôle de composition, un vrai, d'autant plus que les sources sur la reine-mère ne sont pas légion. Il a donc fallu inventer ce rôle de "nymphe trash" et ensuite le tenir. Superbe, envoûtante et déjantée Angelina réussit encore une fois à nous éblouir par son talent. |
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