Hanami, mon ami

Suite de la visite guidée de Kyōto et ses cerisiers.

kyoto printemps 19

Ça y est, les cerisiers éclosent de partout. C’est aussi la floraison des parapluies, on en profite comme on peut entre deux averses.

Le soleil et la foule sont au rendez-vous.
Le soleil et la foule sont au rendez-vous.

Quand on dit que hanami consiste à regarder les fleurs des cerisiers, c’est pas une métaphore. On ne se contente pas de jeter un oeil au paysage, dire “c’est beau” et continuer son chemin. On s’arrête et on scrute attentivement. Et on prend des photos, le cliché du Japonais qui mitraille est une réalité. En même temps, je fais pareil, donc bon…

Même sous la pluie, ça reste un joli panorama (je parle de l'arbre, pas des donzelles).
Même sous la pluie, ça reste un joli panorama (je parle de l’arbre, pas des donzelles).
Le peloton d'exécution des photographes mitrailleurs.
Le peloton d’exécution des photographes mitrailleurs.

Pendant ce temps, à Vera Cruz…

Le Daigo-ji. Ce temple, véritable concentré de patrimoine, renferme pas moins de 18 trésors nationaux (国宝) et 90 biens culturels importants (重要文化財).

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Le canal Okazaki mentionné dans l’article précédent. Je vous laisse comparer avant/après.

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Le chemin des philosophes, idem.

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Le Parc Maruyama, dont je disais tantôt qu’il était “lieu très prisé pendant hanami”.

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Le Kiyomizu-dera, blindé de monde aussi, ce qui ne change pas du reste de l’année.

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